I'm just a angry woman, stay away fay


Je voudrais avoir les ailes de la colombe. Prendre mon vol vers un refuge sûr. Un homme s’en prend à ses alliés, viole ses engagements. Sa bouche est pleine de douceur, mais la guerre est tapie tout au fond de son cœur. Et toi, oh Dieu, tu le feras descendre dans le puits de la destruction. Cet homme fourbe et sanguinaire, n’atteindra pas la moitié de ses jours. Mais moi, je me confie à toi. Donne nous la force d’affronter toutes les étapes de notre deuil alors que nous faisons nos adieux à ce qui n'est plus ...

D'abord le déni. Refuser l'évidence, la vérité, se bercer d'illusions, que tout cela n'est pas fini. Il peut s'en passer du temps avant d'accepter la réalité, et parfois cette acceptation se fait grâce à une rencontre, un détail, ou des évidences qui s'accumulent.

Puis la colère. En vouloir à la terre entière, à l'être en question, mais aussi à tous ceux qui nous entourent. Faire du mal aux gens en en ayant conscience, tellement on a mal à l'intérieur, au moins on partage, non .... Se comporter comme une personne immature et idiote, juste pour espérer se sentir mieux, mais ça n'y change rien.

La peur arrive ensuite, la peur de l'inconnu, la peur de ce qui vient après, la peur de tout, de soi, des autres...

Et voilà c'est là que je me suis arrêtée, entre la colère et la peur.

Reste encore la culpabilité, la dépression... jusqu'à l'acceptation... un jour ?

1 commentaires:

Anonyme a dit…

ça vient plus vite qu'on ne le pense l'acceptation ^^
puis, il y a souvent d'autres personnes qu'on rencontre et qui aident un peu à faire avancer le schmilblik

Copyright © 2008 - A double tranchant - is proudly powered by Blogger
Blogger Template