Lâcher prise, c'est parfois la seule solution.
N'importe qui ayant lu ce blog dans son intégralité a du en ressortir avec une grosse migraine provoquée par les nombreuses questions existentielles que se pose l'auteure ( c'est moi c'est moi !!! ). Désolée du dérangement, faut dire que c'est une mauvaise habitude mais... je me soigne.
Là ou on s'acharne inlassablement, il y a toujours un moment ou on ne peut que lâcher prise. Le lâcher prise, cette seconde ou tu te laisses porter par tout ce contre quoi tu luttais.. et alors qui sait ou ça te mène. Parfois de bonnes surprises, tu te demandes si elles vont durer... mais peu importe après tout, tu savoures, tu sais que si ça ne dure pas, tu retomberas sur tes pieds, alors advienne que pourra. D'autres fois de grands moments de solitude et de culpabilité, mais ça aussi ça passe, ça laisse quelques écorchures et puis ça s'en va.
Le lâcher prise ou prise de recul, ce truc qu'on te recommande avec un air philosophique quand t'es au bord du pétage de cables... à raison.
A consommer avec précaution tout de même, s'en méfier. Parfois à force de lacher prise envers des personnes, une situation, on tire tellement sur l'élastique qui nous relie à eux que ça finit par péter. Plus de point de retour, et c'est la distance désormais permanente. Ma famille paternelle en subit les frais, après des années à tenter de m'y faire ma place, j'ai fini par lâcher prise, parfois je regrette, et souvent je me dis que pour créer un vide il faut être au moins deux ( et plus si pas affinités ^^ ).
Bref, lachons prise les enfants, laissons nous porter par le courant de l'insouciance et du hasard, prions un peu pour qu'il ne nous jette pas plus bas que terre, et savourons beaucoup tous les plaisirs qu'il nous procure :)
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